Matérialisme: cette course à la consommation reflète un traumatisme sociétal évident, qui a entraîné la prolifération « d’enfants rois » toute cette riche progéniture en manque de sécurité intérieure est se qui se reflète dans notre société et tout ses paliers.
Les facteurs liés aux problèmes de comportement chez l’enfant roi sont :
La culpabilité, le remords, l’anxiété et l’angoisse sont totalement absents, en même temps que brille par son absence toute inhibition de l’expression et de l’affirmation de soi, au point où l‘agression fait habituellement partie de son répertoire normal de comportements. Comme la peur est également absente de sa dynamique affective et que l’impulsivité l’accompagne depuis l’enfance, particulièrement depuis sa fixation au stade impulsif où il continue de séjourner, il recherche le contrôle et la domination par le plaisir pur que ces conduites lui procurent et non par la peur d’être à nouveau contrôlé et dominé, tel qu’il en est le cas chez l’enfant victime de répression. L’image et l’estime de soi atteignent des proportions narcissiques et toute morale, si infime soit-elle et qui pourrait freiner leur appétit pour le plaisir et la satisfaction de leurs désirs, demeure d’une totale inefficacité.
« L’enfant roi » doit parvenir à la conviction profonde que la répression de sa tendance compulsive au plaisir permet la maturation de la personnalité. Mais il y a un hic majeur à la réalisation de ce processus : comment concevoir comme mal ce qui plaît si intensément? Pétri de narcissisme et parfois vide de toute morale, l’enfant roi n’a pas accès à la culpabilité et à l’anxiété, deux affects essentiels pour assurer le succès de ce processus.
Ce qui rend évident, les raisons pour lesquelles nous en sommes rendus là: malgré la grande intelligence et connaissance des « élites » le manque de maturité contribue à la dépravation des enfants: transgenre, adrénochrome, viol, agression, enlèvements etc. Etc. Même phénomène observable envers Mère Terre: dilapidation des ressources naturelles, empoisonnement; des terres agricoles, des cours d’eau, des cultures et jusqu’au graine sans oublié la destruction dès vie animals et végétal jusqu’à l’extinction.
Cette course au matérialisme est évidemment voué au carambolage et c’est exactement la vitesse d’accélération des événements et des technologies qui finiront par échapper au contrôle des élites.
En. Conclusion: la vitesse tue!